Le chantier de la centrale électrique de l’Ouest suspendu à la décision du tribunal administratif
Saisi en référé par les associations Kulalasi, Maiouri Nature Guyane, l’Aspas et l’association du village Prospérité, le tribunal administratif de Cayenne doit se prononcer sur une dérogation d’espèces protégées exigée à l’exploitant Ceog par les requérants. Cette dérogation apporterait des garanties supplémentaires de protection de l’environnement dans le projet de centrale électrique de l’Ouest guyanais (Ceog) d’après les associations de défense de l’environnement et des peuples autochtones. La décision du tribunal, attendue en début de semaine prochaine, entraînera ou non une suspension des travaux le temps que la requête soit étudiée sur le fond. « Nous ne sommes pas là pour contester…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonne
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.