Le 12 septembre de Léon…
Mercredi, la Cour de cassation dira si Léon Bertrand n’est plus maire de Saint-Laurent du Maroni et retourne à la case prison ou s’il bénéficie d’un répit judiciaire de plus dans l’affaire dite «des pots de vin contre marchés truqués de la CCOG», la Communauté de communes de l’Ouest guyanais qu’il préside depuis avril 2001, les pots de vin ayant pu servir, en particulier, au financement de campagne électorale de l’intéressé à l’époque des faits reprochés. Il s’agit d’une interminable affaire – l’élu guyanais ayant décidé, comme il en a le droit, d’épuiser tous les recours possibles- dans laquelle Léon Bertrand a été jugé définitivement…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
2 commentaires
Le problème est de savoir si les juges ont peur… ou pas. Le reste n’est que du folklore…
En cassation c’est du droit. La Cour de cassation appuiera sa décision sur l’un des trois critères ayant justifié une audience en formation restreinte (voir article)