Le récit accablant de la Cour d’appel sur le fond de l’affaire du parachute doré offert sur un plateau par Léon Bertrand à son ami Guy Le Navennec…
La Cour rappelle ensuite ce fait déjà fustigé par le tribunal de première instance. L’existence de deux procès-verbaux du C.A. de la Senog ayant voté l’octroi du parachute doré. Avec parmi ces deux PV, l’un expurgé du chapitre consacré à ces indemnités accordées à Guy Le Navennec. C’est ce PV expurgé qui sera adressé au contrôle de légalité : « l’examen des procès-verbaux des réunions du conseil d’administration de la Senog établit que deux procès-verbaux différents de la séance du 26 juin 2008 ont été rédigés. Un premier procès-verbal indique un ordre du jour comprenant plusieurs questions, parmi lesquelles ne figurent pas…
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11 commentaires
Ça c’est de l’argumentation! Comment peuvent-ils continuer à nous faire croire à leur maladresse admistrative? Il faut savoir accepter la sentence et lorsque on a tout perdu au moins pourraient ils retrouver leur honneur, mais ça ………..
Ce sont des faits rares, mais les coupables, si la cassation le confirme, auront été pris à leur propre piège comme des voleurs de poules. Le Navennec avait un salaire annuel de 295000 euros, ce qui fait mensuellement (en 12ème) 24583 €. C’est du lourd qu’on rencontre dans des groupes aux objectifs bien définis. La Senog ne joue pas dans la cour des grands. Il faut rester grenouille quand on ne peut pas être un bœuf. Le centre pénitentiaire de Rémire est surbooké, il y aurait de la place au camp de la transportation ?
…allusion a son grand père bagnard ?
« tais-toi! »…
Outre ces deux dirigeants, de sérieuses questions se posent quant à la responsabilité, sinon pénale en tout cas administrative ou électorale, des membres du CA de la Senog. La rémunération et l’indemnité de départ ont tout de même étaient délibérées durant le CA et le faux PV de délibération a bien était rédigé par quelqu’un, même sur instruction du Président ou du directeur… Ces gens-là appartiennent à un organe de délibération mais ne semblent se poser aucune question sur les décisions qui y sont prises, non plus que sur leur légalité. L. Bertrand était-il président du CA ou gourou ?
De plus, même si des informations ont été délibérément cachées au CA, les comptes de la Senog, eux, lui sont soumis tous les ans, comment est-il possible qu’aucune voix ne se soit élevée contre des dépenses aussi exorbitantes vu l’état des finances de cette société ?
Au mieux ces faits révèlent la parfaite incompétence des membres du Conseil d’administration de la Seng, au pire leur malhonnêteté.
Il y a visiblement un sacré ménage à faire dans les instances publiques (ou semi-publiques ici) de l’ouest guyanais…
et pas qu’a l’Ouest ! souvenez vous de la subvention au cabinet dentaire mont louis deva…(sans majuscules) tout cela a des relans de république bananière , faudrait faire intervenir la commission d’enquête des « biens mal acquis »
VB, votre anonymat n’est pas préservé. Si je clique pour répondre à n’importe quel commentaire c’est le nom qui apparait, pas le pseudo.
en effet ! comment expliquer vous cela Guyaweb ? payer 30 euros pour risquer un procés en diffamation !
Bonjour,
Cela a été corrigé
Merci de votre vigilance.
Cordialement,
Katia LEÏ-SAM
Bonjour,
Cela a été corrigé
Merci de votre vigilance.
Cordialement,
Katia LEÏ-SAM
Qu’est-ce que le Navennec savait ou quels services avait-il rendu à Léon pour que celui-ci vide les caisses de la Senog pour remplir celles de son … complice ?