Résultat de recherche pour "dorlin"
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Soukouri se planque…
L'homme, ressortissant brésilien, fait peur dans le milieu de l'or à Dorlin chez les clandestins. Il les terrorise avec sa bande armée. «J'ai vu des clandos qui parlaient de lui. L'un disait c'est un psychopathe, les autres, autour, opinaient du chef», confie une source du milieu de l'or à Maripasoula. Selon une source, Soukouri (ou Soucouri ou Sucuri) était auparavant sur Saint-Je... -
« On ne peut pas avoir des garimpeiros qui violent en permanence nos Amérindiennes…» : la phrase prêtée à Rodolphe Alexandre qui fait polémique : son directeur de la communication tente de justifier les propos
Sollicité mercredi (ainsi que Rodolphe Alexandre en personne), puis relancé vendredi par l'auteur de ces lignes, Tom Juillerat, le directeur de la communication du président de la CTG (collectivité territoriale de Guyane) n'exclut pas que Rodolphe Alexandre ait pu tenir les propos relevés par Mo News, média présent au congrès des maires mardi 11 mai et qui font à juste titre polémique no... -
« On ne peut pas avoir des garimpeiros qui violent en permanence nos Amérindiennes…»
C'est une phrase stupéfiante qui est prêtée à Rodolphe Alexandre le président de la CTG (Collectivité territoriale de Guyane) par nos confrères de Mo News (mur Facebook et compte Twitter) depuis mardi après midi : « On ne peut pas avoir des garimpeiros qui violent en permanence nos Amérindiennes...» Cette saillie aurait été proférée par l'élu guyanais mardi au cours du congrÃ... -
21 militaires du GIGN spécialistes du grand banditisme envoyés en Guyane pour «traquer une bande armée» en forêt, a révélé un général… juste avant un braquage de plus perpétré dimanche sur un site minier
Le 14 mars 2020, une bande de braqueurs tentait de prendre d'assaut une exploitation aurifère légale alors même qu'un dispositif de gendarmes mobiles était positionné pour en assurer la sécurité. De sources concordantes, un nouveau braquage a été perpétré sur un site minier autorisé dimanche, le 14 janvier 2021, dans l'Ouest guyanais, sur le même secteur géographique. Soit, exa... -
148 sites aurifères illégaux de trop au sein du Parc amazonien où «depuis 10 ans, les missions scientifiques sur la montagne Bellevue de l’Inini, sont systématiquement annulées…»
Le nombre de sites d’or clandestins au sein du Parc amazonien de Guyane (PAG) est toujours très élevé avec 148 sites identifiés au cours d’une campagne de survol de ce vaste espace protégé de 34 000 km², effectuée fin janvier dernier sur 5 jours, selon le compte rendu de cette mission dont Guyaweb a pris connaissance. Si l’on compare ce dernier résultat connu aux chiffres décomp... -
La réforme du Code minier ne convainc pas les élus guyanais
Dans le projet de réforme du Code minier, un quart des dispositions (6 pages sur 23) concerne spécifiquement les activités minières guyanaises, légales et illégales. Mais le projet de réforme n'est pas du goût des élus guyanais, qui en ont pris connaissance lors d'une réunion organisée par le gouvernement le 23 octobre dernier (Lire Guyaweb du 01/12/2020). Ils formulent de nombreuses cr... -
Le coltan, ce minerai qui attire les exploitants miniers
Après l'or, le coltan. Ces derniers mois, ce minerai apparait comme un sujet d'intérêt pour le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) et la junior française Sudmine, laquelle totalise depuis 2018, 130 km2 de titres miniers dans les zones forestières situées à côté de la Montagne des singes à Kourou, sur la route des chutes Voltaire à Saint-Laurent du Maroni et sur la bass... -
Auplata : chronique d’une mue annoncée
La société Auplata, premier producteur d'or français coté en Bourse, est devenue en juillet dernier AMG pour Auplata Mining Group. Derrière ce changement de nom, c'est une véritable mutation de la compagnie minière implantée en Guyane depuis 2004 qui s'est opérée ces derniers mois. Auplata est passée d'une PME guyanaise déficitaire à un groupe minier international, offrant à sa branc... -
Militaires morts le 17 juillet en Guyane : l’état-major des armées finit par nous «répondre»
Après quasiment deux semaines d'attente et de relances, l'adjoint au conseiller communication du chef d'état-major des armées à Paris a fini par nous transmettre vendredi soir (1) des réponses aux questions que nous avions adressées mardi 23 juillet dernier. Des questions relatives notamment aux circonstances du drame du 17 juillet, au non port de masques respiratoires au cours de l'opér...