Résultat de recherche pour "abattis"
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Une rentrée littéraire multiple
Quelques nouveautés sont attendues sur les rayons des librairies et des commerces pour ces mois de septembre et octobre. Retrouvez aussi les évènements littéraires à venir. [caption id="attachment_50806" align="alignleft" width="180"] © Éditions de Rouergue[/caption] Le capitaine Anato et le lieutenant Vacaresse sont de retour. Après Les hamacs de carton, paru en 2012 aux Éditions de R... -
Incendies périurbains, l’Etat major fait feu de tout bois
L’État major à la préfecture vient d’officialiser le « dispositif de lutte contre les feux de végétation ». Un plan transversal et nécessaire qui de septembre à décembre tentera de doucher les désastreux feux de broussailles qui chaque année en saison sèche font roussir parcelles et exploitations agricoles. Interview du commandant à l’État major Jean-Paul Malaganne. A comb... -
Agriculteur sur le Lawa, un difficile labeur
La vente de dachines, d’une main de banane sur fond d’un vert saturé grillé par le soleil d’août. La scène est quotidienne à Maripa-Soula où les agriculteurs vendent leurs produits maraîchers cultivés sur l’abattis, leurs volailles et les quartiers de zébu. Mais les conditions de rentabilité du métier sont très difficiles. On estime à au moins 200, 300 familles qui possèdent... -
Un village de migrations et d’évictions
Toponymie s’intéresse aujourd’hui à l’origine et au peuplement de Balaté, village de Saint-Laurent-du Maroni. Les trois premiers villages de la commune de Saint-Laurent que sont Balaté, Terre-Rouge et Paddock apparaissent dans les années 1940-1950. Parmi eux, le village Lokono de Balaté créé à l’initiative d’un prêtre. Selon le passionnant compte-rendu de recherche (2010) sig... -
Arbr’acadabra
Des champs de canne à sucre pour faire rouler certains véhicules, des coupes sombres pour faire tourner les futures usines de biomasse au nom de l’énergie renouvelable. Tels sont les projets enclenchés par la Région, l’État et leurs partenaires quittent à brûler la forêt et les étapes. « 40 000 hectares ont été demandés à l’État pour alimenter les usines biomasses et pour ... -
Une vie de piroguier
Les hommes des villages fluviaux sont souvent piroguiers de père en fils. Parfois pour la liberté qu'offre cette vie, mais aussi parfois parce que ce métier est le seul auquel peuvent prétendre les non-scolarisés, les sans-papiers. Ce monsieur a le corps modelé par des années de chevauchées des flots impétueux qui s’écoulent et s’écouleront depuis la Tapanahony. Il pointait le bou... -
La transfrontalité vu d’en dessous
Huit ans après la déclaration solennelle des chefs d’Etat Cardoso et Chirac de réunir ces terres veinées par l’Oyapock, les autorités descendent sur la rive pour entendre la voix du peuple. Le premier Conseil du fleuve a été tenu à Saint-Georges la semaine dernière. Une instance inédite puisqu’elle fait siéger « à parité » les décideurs politiques de Cayenne et de Macapá et ... -
Portfolio du marché artisanal du Maroni
La cinquième édition du marché artisanal du Maroni qui s’est déroulée samedi à la salle omnisports de Maripa-Soula a reçu la visite de « 1 500 visiteurs » selon le Parc amazonien, organisateur du rendez-vous annuel. Une « quarantaine d’exposants » venus du Haut-Maroni, du bassin de l’Oyapock, de Maripa-Soula et de Papaïchton ont ainsi proposé à la vente leur artisanat : van... -
Ouanary, là ou vit le dracène
Située sur le Bas-Oyapock, en aval de Saint-Georges, Ouanary est une petite commune de 90 habitants selon le dernier recensement de l’Insee intervenu en 2009. Le toponyme Ouanary « viendrait d’une langue amérindienne arawak de wana : le dracène, Dracaena guianensis, lézard-caïman [que l'on retrouve le long de la rive de Ouanary] et ouny qui se rapporte au locatif » détaille Kristen Sa...