Christine Salem pour la semaine
» C’est une musique au nom trompeur : le maloya, style endémique de la Réunion, dont la graphie évoque une fleur à la douceur capiteuse. Mais ses meilleurs interprètes ne se contentent pas d’en humer les fragrances enivrantes, d’en apprécier la joliesse : ils s’écorchent le coeur et la voix à la recherche des racines, pour en tirer l’essence. Après Danyel Waro, il y a Christine Salem. Son maloya est pur – des percussions, du chant, des harmonies vocales – et dur, enragé, amer, intransigeant. Créole, Christine Salem est née un 20 décembre, jour anniversaire de l’abolition de l’esclavage à…
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