Dernier Congrès des élus pour finaliser le projet politique d’évolution statutaire
Le quatrième Congrès des élus, depuis la relance du projet d'autonomie de la Guyane en mars 2022, se tient ce samedi 13 avril. Outre l'adoption du procès-verbal du Congrès du 2 décembre 2023, figure aussi à l'ordre du jour la proposition de résolution relative à la représentation des peuples amér...-
-
Assimilation forcée en Guyane : un rapport préconise l’ouverture d’une Commission Vérité et Réconciliation sur les « homes indiens »
Porté par l’Institut Louis-Joinet et soutenu par le député guyanais de la 1ère circonscription Jean-Victor Castor ainsi qu’un collectif d’anciens pensionnaires, le projet de création d’une Commission Vérité et Réconciliation sur les « homes indiens », ces internats catholiques dans lesquels des cent... -
Congrès des élus : la question autochtone reportée sine die
Un nouveau congrès des élus sur l'évolution statutaire se tient ce samedi 2 décembre, à partir de 9h, à l'hôtel de la Collectivité territoriale de Guyane. Selon son ordre du jour, ce rassemblement des maires, conseillers territoriaux et parlementaires aura pour mission d'avancer sur tous les points ... -
CEOG : les travaux ont repris, la lutte aussi
Les opérations de déboisement et de terrassement ont fait leur retour depuis le 16 août sur le chantier de la Centrale électrique de l'Ouest guyanais (CEOG), dans un climat d'extrême tension. Chaque jour, sur le terrain, forces de l'ordre et opposants s'échangent des projectiles. Mais le combat cont... -
Un collectif pour la mémoire des « Homes indiens » se crée pour la vérité
Afin d’obtenir une reconnaissance des violences subies au sein de ces internats catholiques, le « collectif pour la mémoire des homes indiens » a été créé jeudi 2 février à Rémire-Montjoly. Composé essentiellement d’anciens pensionnaires de ces internats dans lesquels ont été placés depuis les année... -
Trois Amérindiens en comparution immédiate pour violences sur des gendarmes
C'est un procès particulier qui doit se tenir demain au Larivot : trois Amérindiens de Macouria dont un monsieur de 70 ans, nous a-t-on dit, vont comparaïtre pour violences aggravées sur des personnes dépositaires de l'autorité publique. "Ils ont paniqué" indique Me Akim El Allaoui, avocat choisi...