Les collectivités ultramarines signataires se sont réunies à cette occasion.
Dans L’appel de Fort-de-France signé le 16 mai 2022, les président(e)s de Saint-Martin, de Martinique, de La Réunion, de Guadeloupe, de Mayotte et de Guyane (photo de Une, de gauche à droite) appelaient à « un changement profond de la politique Outre-mer de l’Etat » face au « mal-développement structurel à l’origine d’inégalités de plus en plus criantes qui minent le pacte social ».
A l’occasion du 1er anniversaire de cet appel les collectivités signataires réunies en visioconférence ont réaffirmé « leur volonté commune de voir émerger un changement profond dans la politique Outre-mer de l’Etat, notamment à travers une meilleure prise en compte des spécificités de leurs territoires respectifs et une prise de décision au plus près des territoires » indique la Collectivité territoriale de Guyane (CTG).
« Il s’agit d’exiger pour nos populations, la parité avec les jeunes de l’Hexagone, en termes de développement humain et matériel. Il s’agit également de faire le point sur les besoins en investissements et d’ouvrir la porte à des stratégies de développement différenciées » selon Gabriel Serville, président de la CTG.
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