« L’abolition de l’esclavage est célébrée depuis 1848 en France, mais pas le marronnage, la résistance à l’esclavage entre le XVIIe et le XIXe siècle. En Guyane, sur le continent américain, les Noirs Marrons ou Bushinengué ont fui les plantations du Surinam voisin où le système colonial était particulièrement cruel, pour se réfugier en forêt, le long du fleuve Maroni. Comment ces sociétés se sont-elles constituées, et comment se transmet aujourd’hui cette histoire du marronnage ?
A l’occasion de l’exposition « Marronnage, l’art de briser ses chaînes » à la Maison de l’Amérique Latine à Paris, artistes et historiens Boni nous éclairent sur leur passé et sur la transmission de leur culture aux jeunes générations ».
Marronnage : les Bushinengué de Guyane revendiquent leur histoire, une émission de Véronique Gaymard à écouter sur RFI.
Marronnage, l’art de briser ses chaînes, une exposition à voir jusqu’au 24 septembre à la Maison de l’Amérique Latine à Paris.
Marronnage, l’art de briser ses chaînes : une histoire de(ux) regard(s), un article de Hélène Ferrarini à (re)lire sur Guyaweb.
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