Ce dimanche, l’équipe de France féminine de handball a décroché son troisième titre mondial au dépens de la Norvège (31-28).
Une finale accrochée en conclusion d’un mondial survolé par des Françaises invaincues tout au long de la compétition. Et ce, malgré l’absence de leur capitaine et patronne de la défense : la Guyanaise Béatrice Edwige.
Référence planétaire au poste, la non-sélection de la fille du sénateur Georges Patient a marqué les esprits et fait l’effet d’une mini-révolution au sein d’une équipe en quête de rajeunissement. En effet, c’est la première campagne en dix ans de compétitions internationales menée sans Béatrice Edwige.
Force est de constater que la relève est là à quelques mois d’un tournoi olympique auquel les Françaises, en tant que pays hôte, sont d’ores et déjà qualifiées. Les handballeuses y défendront leur titre obtenu il y a quatre ans au Japon.
1 commentaires
Soyons beau joueur et mettons notre chauvinisme régionnal de côté… À 35ans Béatrice Edwige reste une sacrée championne. Mais là, quand on voit la vitesse et la puissance de la jeune génération, surtout en attaque…Difficile de ne pas valider certains choix du sélectionneur.