Conférence sur ce thème ce mardi 4 avril à 18h à l’Université de Guyane.
Magali Demanget, anthropologue à l’Université Paul Valéry de Montpellier, « partira du décalage observé au Mexique entre la publicité élaborée autour des « fêtes indigènes dédiées aux morts » promues par l’UNESCO et l’actualité de violence extrême qui déchire le pays (…), pour explorer les relations rituelles nouées à l’occasion de cette célébration entre vivants et défunts, ainsi que leur mise en scène à des fins patrimoniales » indique l’Université de Guyane.
La conférence « abordera alors autant l’établissement des représentations positives de la mémoire des morts, patrimoniales ou non, que leur dislocation, telle qu’elle se profile notamment dans les cas des « disparitions forcées ». Cette mise en perspective conduira à traiter la frontière sous l’angle de sa polysémie, de son épaisseur et de ses dynamiques, et aussi de son effacement ».
Des frontières symboliques ambigües. Fête des morts, patrimoine et violence au Mexique, une conférence de Magali Demanget mardi 4 avril à 18h sur le campus (salle F002) de l’Université de Guyane à Cayenne.
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