Rejet de la requête en référé de Philippe Libon, l’ex-secrétaire départemental adjoint de FO pénitentiaire Guyane, qui contestait son déplacement-sanction à Poissy
« L’administration a mis volontairement à sa disposition un rapport tronqué, ce qui démontre un défaut de loyauté dans le déroulement de la procédure disciplinaire » est le premier argument avancé par le camp Libon, rappelle en premier lieu la décision du juge. Il s’agit d’une information qui avait été révélée par Guyaweb, le 23 février dernier (voir ce lien). Le rapport de l’inspection générale des services judiciaires, dans sa version communiquée au syndicat FO pénitentiaire et aux agents ayant fait l’objet d’une procédure disciplinaire, a été expurgé de sa partie consacrée au directeur de l’établissement et aux préconisations de la mission….
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
5 commentaires
On va résumer : Personne n’est très clean dans cette affaire.
Mais bon, se battre contre la maison qui rend fou, qui plus est avec ce genre de méthodes…
je reste persuadé que les juges se sont surtout laissés influencer par l’émotion dans leur jugement. souvenons-nous que le MEDEF avait défilé dans les rues de Cayenne, habillés en bagnard il y a qq années.
Certains arrêts de maladie paraissent « de complaisance ». Des médecins militants ?
Tout ceci est du charabia de charabia. L’action syndicale comme toute action humaine doit être dépourvu de toute connotation raciste. Libon a oublié ce principe. Aujourd’hui il paye et devrait s’estimer heureux de ne pas perdre son travail.
mais comment délimiter la « connotation » ? c la porte ouverte à toute espèce de préjugés.