Le procès du Brésilien, blessé par un tir de gendarme et jambe dans le plâtre au tribunal, repoussé suite à un avis à victimes trop tardif
Le président Abdou Souna demande alors au prévenu Antonio Pereira de Castro de décrire peu ou prou son parcours. –Je travaillais dans ce canot (celui vers lequel un gendarme a fait feu mardi 21 novembre) c’était mon dernier travail en date. Avant je pêchais, assure le prévenu. C’est de manière récurrente, depuis des années, un axe de défense des petites mains, de nationalité brésilienne, impliquées dans l’activité aurifère illicite : un nombre non négligeable de ces ressortissants assurent être «pêcheurs». – Comment êtes-vous arrivé en Guyane ?, lui demande le président –Le 22 décembre 2011, on m’a amené à l’hôpital suite…
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1 commentaires
Bonjour à tous! J’aime bien la façon comment vous abordez le sujet. Les faits sont racontés de façon objective par les deux parties. Cette abordage nous aide à prendre du recul. Il pourrait peu être avoir de témoins pour raconter une autre version, mais nous sommes bien conscients qu’il est difficile d’aller plus loin du fait de votre éloignement physique du lieux des faits. Bonne continuation!