Il n’y a plus un seul gendarme à Saint-Elie, haut-lieu historique de la fièvre de l’or…
Vers août/septembre 2008 à Saint-Elie, alors que l’information judiciaire était en cours dans l’affaire des commerçants, une bijouterie clandestine y était toujours ouverte, tenue par un joaillier vénézuélien à moustache, juste à la sortie du bourg, sous le couvert végétal. A cette époque, j’y avais entre autres rencontré, en plein bourg, un Brésilien petit et trapu surnommé Baixinho Oil (« le petit homme carburant ») qui m’avait notamment raconté comment il se jouait des gendarmes au barrage d’Iracoubo pour faire passer son mercure (voir encadré sous le texte). « C’est la misère humaine », soupire aujourd’hui Véronique Jacaria lorsque je lui relate cette histoire….
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