« Nous réclamons la reconnaissance des droits du fleuve Maroni »
La juriste Marine Calmet préside l’association Wild Legal qui milite pour inscrire « dans notre droit des normes en accord avec le fonctionnement du vivant et des limites planétaires ». Elle demande la reconnaissance de droits pour le fleuve Maroni, une évolution juridique qu’elle présente comme un levier dans la lutte contre l’orpaillage illégal et la pollution au mercure. La juriste répond aux questions de Guyaweb sur la manière dont des changements juridiques pourraient contribuer à la protection de l’environnement et des populations. Vous avez été porte-parole des collectifs Or de question et de Stop Pétrole Guyane, pour l’association Nature Rights ;…
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3 commentaires
Protéger le fleuve et la biodiversité, c’est aussi protéger les habitants de cette région, dont presque personne ne se préoccupe, on parle plus en métropole du Brésil….
Bah …. entitee juridique pour reconnaissance du lawa et du maroni
Ca ne changera rien, c est du vent pour assos a subvention.
Voyons l exemple concret du PAG bourre de protection juridique et penal des textes en veux tu en voila, meme pas le droit d y ceuillir une fleur : c est la ou il y a le plus de sites illegaux de toute la guyane 😂😂😂
Sous la ligne de demarcation au sud d elae ou depuis des siecles on ne peut « officielement » se balader pour regarder les petits oiseaux sans autorisation prefectorale
On trouve plus de detecteur de metaux que d agouti ……
Bon sang fichez-nous la paix !
On ne peut plus se promener, camper dans la moindre forêt dans ce pays. De pseudos associations sortent de nul part, s’octroient des milliers d’hectares de forêts … On marche sur la tête. On ne peut plus, MÊME A PIEDS, emprunter la moindre piste sur la montagne de Kaw pour admirer la nature ; des pistes autrefois créées et entretenues par l’exploitant de bois aujourd’hui retraité.
On nous parle de développement de la Guyane : il faut en faire le visage de l’Europe en Amérique du Sud. Paroles, paroles, paroles. Ce n’est pas avec ce type de projets que la Guyane va briller :
« Personne n’allume une lampe pour la mettre dans un lieu caché ou sous le boisseau, mais on la met sur le chandelier, afin que ceux qui entrent voient la lumière. » Arrêter de mettre la Guyane sous cloche, vous l’empêcher de briller.