« Se battre », le mot d’ordre à l’université
Des bus, un système de restauration digne, des licences et master pérennes, du papier toilette, des moyens d’action suffisants. Les revendications du collectif universitaire ont une nouvelle fois été exprimées mardi matin au cours d’une Assemblée générale, point d’orgue de la grève entamée le même jour sur le campus. La direction est sommée d’apporter des solutions sous peine d’un siège durable. A 9h30, ils étaient 150 réunis devant l’entrée du campus bloqué par une barricade. Trois heures plus tard, ils étaient 400 à s’être engouffrés dans « l’amphi A », où s’est tenu la seconde Assemblée générale du nouveau collectif…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
1 commentaires
Il est temps que l’on coupe le cordon ombilical. La Guyane n’a rien à voir avec les Antilles. Il n’est pas admissible que des décisions nous concernant soient prises dans des instances situées à des milliers de km de chez nous.