Une vie de piroguier
« Le fleuve il n’y a pas d’autre travail sinon c’est orpailleur » « Je ne connais pas un autre métier, je ne sais pas lire, pas écrire. Manger, draguer nana c’est tout » glisse-t-il tel un aymara pour l’instant au repos. « Le fleuve il n’y a pas d’autre travail sinon c’est orpailleur ». Deux métiers qui se côtoient, s’entrelacent, entre rives surinamaise et française. Notre piroguier porte à son coup une chaînette où pend orgueilleusement une pépite grosse comme trois phalanges. « C’est un cadeau » nous adresse-t-il et rit, intimant de passer à un autre sujet. L’or fait briller les yeux et ses…
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0 commentaires
super article
Très bel article, on s’y croirait.