Un procès singulier pour corruption, aide au séjour et complicité d’orpaillage illégal avec, parmi les quatre prévenus, l’ancien commandant de la brigade de gendarmerie de Régina qui ne sera pas à l’audience…
L’enquête partie sur les chapeaux de roue, faisant les gros titres de la presse locale et des dépêches dans la presse nationale, avance par la suite à un train de sénateur. Rosidel Da Silva Pantoja (4), la ressortissante brésilienne qui a bénéficié d’une restitution de pirogue et moteurs saisis par la brigade de Régina, n’est ainsi placée en garde à vue qu’à la fin du mois de juillet 2013 alors que Patrick Melara, vient peu ou prou d’avoir l’autorisation de rentrer en France, au chevet de sa femme malade, selon lui, à condition d’apporter la preuve de l’achat d’un billet…
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4 commentaires
On ne l’attendait plus celui là . . .
» Il y a une perte de référence en Guyane qui s’accélère comme nulle part ailleurs même dans les autres DOM-TOM »
Une phrase extraite de ce très exotique article, qui porte à croire que des fois, dans la vie le scénario des histoires, les personnages typés c’est comme dans les livres de fiction ou dans les séries et les films .
Perd ses références qui veut. . .
Au delà de cette affaire, ce qui est certain c’est que depuis que les contrôles ont totalement cessés sur l’Aprouague, le va et vient des pirogues de clandestins est incessant, notamment la nuit, et qu’il y aurait plusieurs milliers d’orpailleurs évoluant sur le bassin de ce fleuve. Il existerait notamment une véritable « ville » d’orpailleurs brésiliens un peu en amont de Régina dotée de toutes les commodités (coiffeur, dentiste, bars, prostituées bien évidemment). certaines femmes accouchent même sur place. La « bataille » est perdue pour la Guyane.