Offensive des opposants à la charte
Le dissentiment violent entre le Parc amazonien et ses détracteurs est monté d’un cran. Le « collectif de lutte contre la charte du parc amazonien de Guyane » vient de prendre forme ce vendredi à dix jours de la clôture de la consultation publique de la charte du Parc amazonien. Étonnement, il regroupe des personnalités politiques, mais peu de citoyens vivant en zone du Parc. Le « collectif de lutte contre la charte du parc amazonien de Guyane », dont la création n’est pas parue au Journal officiel, concentre « ceux qui ne veulent pas [de la charte], ceux qui veulent la réformer et ceux…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
0 commentaires
Voilà qui est intéressant.
Sans porter le moindre jugement sur la charte du Parc, qui n’est pas ici le problème principal, en entendant le retour de l’image du triste découpage passé avec le territoire de l’Inini, la liste des opposants est symptomatique des césures de la société guyanaise.
On y retrouve principalement des acteurs du littoral et on devine une motivation d’occupation du territoire qui peut elle aussi rappeler des schémas collonialistes.
On lit aussi, par exemple de la part de St Elie : le moins d’Etat possible, mais quand même faut lacher les millions d’Euros : Le beurre, l’argent du beure et un coup de pied au derrière de la crémière. Si on veut être entendu, il me semble qu’il faut aller un peu plus loin.
Je ne défend ou critique ni l’Etat, ni les partis politique locaux, mais le Parc représentant une emprise importante dans le Sud et sa charte étant tournée vers les populations proches, c’est à celles-ci, les « peuples autochtones » de se positionner. Au delà de cela, habitant sur le littoral, je considère que j’ai le devoir de ne pas donner mon avis, sauf à contester des prises de position déplacées comme la pupart de celles-ci.