Militaires morts le 17 juillet en Guyane : l’état-major des armées finit par nous «répondre»
Après quasiment deux semaines d’attente et de relances, l’adjoint au conseiller communication du chef d’état-major des armées à Paris a fini par nous transmettre vendredi soir (1) des réponses aux questions que nous avions adressées mardi 23 juillet dernier. Des questions relatives notamment aux circonstances du drame du 17 juillet, au non port de masques respiratoires au cours de l’opération Harpie ce jour-là, à la lutte contre l’activité aurifère illicite en Guyane… Dans ses réponses adressées vendredi soir de Paris par courriel (2), l’état-major des armées se réfugie à l’occasion, d’une part, derrière l’enquête judiciaire en cours et, d’autre part,…
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2 commentaires
Coquille corrigée dimanche dans une des questions de cet article. Il fallait lire « Le secteur de Sant-Jean/Petit Abounami, lieu du drame voyait par exemple une augmentation des sites illégaux au moins depuis août 2018 (et non 2008, ndlr). Avait-il donc été décidé de mettre l’accent sur ce secteur ? »
je garde encore de l’amertume … ne-fût-ce qu’en l’honneur de ces trois jeunes militaires qui sont morts pour défendre les lois et usages de la République, nous devrions en savoir davantage sur les circonstances de leur mort. Comment voulez-vous que les familles fassent pleinement leur deuil si elles ont le sentiment qu’un « couac » leur est caché ? Je redis toutes mes sincères condoléances aux proches de nos soldats !