Martinique : “Il y a tellement de désespérance et de promesses non tenues”
A l’occasion du mouvement social en Martinique, une partie de la jeune génération s’est exprimée de manière inédite et autonome en érigeant des barrages routiers, en ralliant l’intersyndicale ou en participant aux nuits d’émeutes. De nombreux intellectuels et membres de l’Éducation nationale rappellent l’état de « désespoir » qui a gagné une partie de la jeunesse martiniquaise et les effets délétères des « promesses non tenues » par la classe politique. Fort-de-France (Martinique) – « Arigato gozaimasu ». C’est avec discipline et attention que la quinzaine d’écoliers du quartier Godissard se plie à saluer solennellement leur professeur de judo avant de quitter le modeste et précieux…
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1 commentaires
Gratinée tout de même l’affiche de la préf de Martinique… Le y’a bon banania de grand papa des années 20, mais juste un siècle plus tard en 2020. Procés prévu en février 2023, pour « injure publique à caractère raciale », proférée par une institution de l’Etat, serait-on tenté d’ajouter… Le préfet Cazelles étant toujours en poste. Dans notre république, il est bien plus risqué de manger des hommards (De Rugy) que de pondre et répandre une affiche à connotation raciste, apparement. Tu m’étonnes que là-bas les jeunes des quartiers pètent les plombs…