En 2013, l’Observatoire national des zones urbaines sensibles rapportait que « 85% des habitants ayant signalé des travaux dans leur quartier déclarent qu’on ne leur a pas demandé leur avis, près de la moitié aurait aimé qu’on le fasse. » La Guyane ne dérogerait pas à cette statistique nationale selon les témoignages de certains locataires de logements sociaux qui de plus en plus se regroupent en association pour mieux défendre leurs doléances et leurs droits. Après les habitants de la résidence Maya de Matoury partis en guerre contre la Semsamar en juin dernier (Guyaweb du 07/05/14), et plus tôt le collectif citoyen de…