« Les droits de la nature sont un outil décolonial »
Dans son dernier livre Décoloniser le droit (éditions Wildproject, 2024), la juriste Marine Calmet souligne les liens entre dynamique décoloniale et reconnaissance des droits de la nature. Dans ce texte concis et percutant, construit sous la forme d’un entretien avec l’éditeur et anthropologue Marin Schaffner, elle s’appuie sur ses expériences de travail et ses engagements militants dans les luttes autochtones et environnementales de Guyane. Votre ouvrage avance une idée phare : en Guyane, « le droit français a été et reste un outil colonial ». Pouvez-vous préciser cela ? C’est un droit colonial parce qu’il n’a pas véritablement su prendre en considération…
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