Les demandeurs d’asile syriens pris en charge
Une fois de plus, l’absence de centre d’accueil pour les demandeurs d’asile en Guyane plonge dans la tourmente des demandeurs d’asile syriens et les institutions guyanaises. Ou comment la Guyane doit aussi répondre au conflit qui dévaste la Syrie depuis cinq ans. En septembre 2015, alors que la photo d’un enfant syrien de trois ans retrouvé mort sur une plage turque déclenchait une tornade médiatique, le chef de l’État français, François Hollande et la chancelière allemande, Angela Merkel « décid[aient] de transmettre dès aujourd’hui (à l’UE) des propositions communes pour organiser l’accueil des réfugiés » annonçait alors l’Elysée dans un communiqué…
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1 commentaires
Cette situation est inadmissible pour un pays comme la France qui se targue d’être un pays d’accueil pour les réfugiés de guerre de surcroit. alors vous pensez en Guyane c’est encore pire !!!
Si l’on peut débattre de la décision politique de recevoir des demandeurs d’asiles en Guyane à partir du moment ou l’Etat centralisateur le décide, il faut le faire en y mettant les moyens ( structures d’accueil temporaires, sanitaires, restauration, scolarisation, travail ). Décider de recevoir sans ces éléments en laissant les gens à la rue est indigne et entraine tous les sentiments xénophobes de la population ici.
Ce constat est navrant. D’autant que l’honneur de notre Guyane c’était le bien vivre tous ensemble, malgré nos difficultés, malgré nos différences.