Les défis de l’abattis-brûlis
La culture vivrière guyanaise est en pleine évolution. Son accompagnement technique, la rentabilité, l’attrait de cette activité, sont aussi complexes que les profils des travailleurs de la terre sont divers. Le défi majeur reste à faire bouger les lignes actuelles pour que cette profession de petite échelle puisse maintenir l’épanouissement des familles et créer une économie de circuits courts. « On assiste progressivement à la mutation d’une économie familiale de subsistance vers une économie mixte subsistance-monétaire. Dès lors, on cultive aussi pour vendre et non plus exclusivement pour se nourrir et maintenir les traditions alimentaires et culturelles » évoque le…
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