Enfin, le juge des référés du Conseil d’Etat s’est prononcé sur le bien-fondé des injonctions, ordonnées le 23 février dernier, par son homologue du tribunal administratif de Cayenne. Et ce, après avoir rappelé que : «la validité des injonctions prononcées par le juge des référés doit être examinée au regard, d’une part des atteintes à la dignité humaine qui sont constatées et de la possibilité d’y remédier à court délai et, d’autre part, des moyens dont dispose l’administration et des mesures qu’elle a déjà prises à cette fin.». Sur le premier point, relatif à la défectuosité des interphones dans le…