La France « protège les internautes » mais pas les lanceurs d’alerte
Seize mois après sa création, le groupe de travail interministériel sur la lutte contre la cybercriminalité a remis lundi à la Chancellerie son rapport commandé par quatre ministres : Justice, Économie, Intérieur et Numérique. Ce texte contient 55 recommandations pour « protéger les internautes » comme la « création d’un guichet numérique pour les victimes de cyberescroquerie », « la création d’un centre d’alerte et de réaction aux attaques informatiques » qui diffuserait des informations de sensibilisation et de prévention au grand public, aux petites et moyennes entreprises et aux collectivités locales. Le rapport préconise également la mise en place…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
1 commentaires
Oui enfin en attendant, la justice n’est toujours pas capable de pénaliser les hommes et femmes politiques auteurs de détournements ou d’abus de biens publics… Alors s’il faut attendre de nos politiques qu’ils prennent parti pour ceux qui dénoncent leurs magouilles… :(
Triste constat. Encore une fois, les « petits » (même s’ils font des choses affreuses) sont traqués, tandis que les « gros » s’en sortent à coup de millions ou de casseroles communes qu’ils ne dévoilent pas pour se protéger mutuellement.
Internet ressemble de plus en plus à la société. Ces lois sont un bienfait comme une terrible entrave à la liberté. Et que dire du comportement purement capitaliste de société comme Google, qui n’hésite pas à « autocensurer » le web dans certains pays (Chine, Turquie) pour pouvoir continuer à amasser de l’argent…