La France, au crépuscule d’une entrée en guerre
Revue de presse sur l’intervention militaire annoncée de la France, des États-Unis et de l’Angleterre en Syrie ; et l’avis des parlementaires. La frappe militaire annoncée par les États-Unis, l’Angleterre et la France contre le régime syrien de Bachar Al-Assad paraît de plus en plus imminente. « Un haut responsable américain indiquait à la chaîne NBC, sous couvert de l’anonymat que les premières frappes pourraient être lancées « dès jeudi » » rapporte Le Monde dans son édition de mardi (27/08). Tout s’est emballé mardi, François Hollande annonçant que la France s’engagerait dans une guerre – sans attendre les résultats des enquêteurs…
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1 commentaires
vive la france!
autant pour le pétrole en irak, la décision initiale a été facile pour les états-unis car avec beaucoup moins de forces opposées en jeu. Quand bien même, outre le pétrole, le résultat est nul compte tenu de la déstabilisation de la région, du nombre de morts depuis le départ des militaires, des affrontements entre ethnies, religions. Comme quoi, au niveau de la population locale, une main forte, une dite dictature c’était mieux qu’un avortement démocratique hémorragique dans une zone en proie à des risques de guerre civile énormes.
Mais là, dans le cas de la syrie, que la france participe à la décision initiale sans preuve atteignable, dans une région ultra instable avec des adversaires potentiels énormes : c’est plus que des risques incertains, incalculables et ainsi aucune prévisibilité sur le résultat et une gravité potentiellement énorme pour eux et surtout pour nous, petits français. Il est ou le principe de précaution cher à la gauche : dans ton cul! Elle est où la vanité des puissants français : devant ton nez!
prions pour que nos enfants guyanais soient un minimum épargnés par la connerie guerrière de l’occident.