La centrale électrique du Larivot : « l’exemple » pour le ministre délégué chargé des Outre-mer
En déplacement en Guyane, le ministre délégué chargé des Outre-mer a fait un crochet hier soir par le chantier de la future centrale électrique du Larivot. Longtemps contestés en justice, les travaux ont repris le 4 juillet dernier. Arrivé avec plus d’une heure de retard sur son programme, le ministre délégué chargé des Outre-mer Philippe Vigier n’a pu effectuer la visite du chantier du Larivot, hier mercredi soir, la nuit étant brusquement tombée sur les dix hectares déboisés aux abords de la mangrove Leblond. Les traits tirés par une longue journée de visite officielle débutée à Maripasoula, Philippe Vigier est…
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3 commentaires
un projet exemplaire ?
N’ont-ils pas honte ?
C’est à tous les étages un scandale qui déroge à la logique et aux réglementations normales !
« C’est un modèle de projet, accepté par la population » !?!?!?
Tant que personne n’est éborgné ou mutilé, ça ne compte pas ?
Rappelons entre autres :
– l’absence de débat public (remplacée par une concertation au rabais)
– la grande majorité d’avis défavorables (et argumentés) lors de l’enquête publique,
– le maintien durable de la dépendance énergétique aux importations d’huile végétale mais surtout au pétrole (la biomasse liquide sera vraisemblablement minoritaire étant donnée la production disponible)
– les procès, dont certains sont toujours en cours
– les procès à venir lors de l’accident qui finira par arriver tôt ou tard : les nombreux riverains qui habitent dans la zone de risque létal (=de mort) des riverains.
« Ce projet va également nous permettre de moins dépendre du barrage de Petit-Saut qui produit 60% de l’électricité en Guyane. »
c’est remplacer de l’énergie renouvelable par de l’énergie carbonée !
Rien de va dans ces déclarations multi-mensongères !!!!