Harpie : moins de forces de l’ordre sur le terrain depuis 2016, personne sur les sites de Maripasoula pendant le mouvement social
Les autorités de l’Etat confirment tour à tour que la lutte contre l’activité aurifère illicite ne constitue plus la première des priorités en Guyane. Le général de gendarmerie Patrick Valentini l’avait confié sans ambiguïté à Guyaweb confirmant l’absence de moyens nautiques à la brigade de Régina le 11 octobre. Le procureur l’a confirmé fin novembre lors d’un point presse à la caserne de La Madeleine. En octobre nous soulevions cette incongruité déplorée même par certains gendarmes de Régina : l’impossibilité pour les intéressés de naviguer sur le fleuve, faute de moyens et leur désolation de voir des pirogues de logistique de…
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4 commentaires
Les gouvernements successifs jouent avec le feu. Leur rôle n’est-il pas d’assurer notre sécurité ET de contrôler les frontières, éviter le pillage, lutter contre le massacre de la faune, la pollution des sites, l’infestation pas le paludisme… Si l’armée ne fait pas le travail, il ne faudra pas s’étonner lorsque la population exaspérée le fera (forcément mal) à sa place. Il sera toujours temps ensuite de hurler avec bonne conscience contre les « milices ». Jusqu’à quand ? Pitoyable et pervers.
Je serai curieux de savoir comment ça se passerait si à l’ inverse des milliers de Français allaient piller les ressources Naturelles de l’ autre côté de la Frontière….
Ce serait très vite réglé. Et puis, vous voyez beaucoup de français travailler dans les mines guyanaises, légales ou clandestines, hormis les patrons ? Pourquoi iraient-ils se fatiguer à faire ailleurs ce qu’ils ne font pas ici…
+1 lol mdr et tutti quanti
En Guyane seuls « les étrangers » (je déteste ce mot là) travaillent en forêt.
Pour les guyanais, la forêt n’est bonne qu’à fournir du gibier pour le bouillon.