Ferdinand Boisrond, élu à Saint-Laurent, est passé aux aveux pour son implication dans le trafic de cocaïne depuis la Guyane et le Suriname
Ecoutes téléphoniques, membres de sa famille impliqués… Ferdinand Boisrond, 5ème adjoint de Sophie Charles, chargé de la jeunesse, reconnaît avoir participé au trafic de stupéfiants. Illustration devant la Chambre de l’instruction mercredi à Angers, en présence d’Ouest France. Il a demandé en vain à être remis en liberté. « J’ai toujours résisté à ça. » : Ferdinand Boisrond, 38 ans, adepte du body-building, reconnaît qu’il a fini par céder. Il veut faire comprendre, ce mercredi 12 octobre 2022, à la chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Angers, le contexte de Saint-Laurent-du-Maroni, ville guyanaise frontalière du Suriname dont il était…
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4 commentaires
^Je lis souvent sur les réseaux sociaux,donnez du travail aux jeunes pour qu’ils ne fassent plus la Mule.Hein!Hein! C’est un faux problème.Le monde est devenu fou,c’est dommage! L’affaire de Dégrad des Cannes les personnes impliquées franchement des égoïstes irréfléchis.Monsieur Boisrond et le A.S.V.P et bien d’autres c’est quoi leur problème? Le milieu de la drogue est très dangereux,L’argent?
Vivre au-dessus de ses moyens.
Des smicards, des hommes et des femmes vivant de l’aide sociale, beaucoup de gens en Guyane affichent des « signes extérieurs de richesse » sans pouvoir justifier de tels revenus. Richesses mal acquises. Vêtements et accessoires de fausses vraies Marques, cela fait rêver. Tous veulent leur SUV, toujours plus imposants que celui du voisin, du collègue, de sa mère… Ils stationnent plus de voitures de luxe au bas des immeubles de logements sociaux que dans les garages des villas de certaines résidences. On trouve même des voitures toutes neuves garées dans des squats !
Si on veut mettre un terme à ces trafics, il ne faudrait pas seulement contrôler la carte grise, le permis de conduire, mais également comment on s’est offert un tel bien.
On demande déjà à certains de justifier le paiement de leur billet d’avion ! ! !
Des gens sans emplois arrivent à se faire construire des maisons qu’ils mettent en location. Le « travail au noir » ne sous-entendrait-il pas aussi trafic de drogues ???
Celà fait longtemps que ça dure, alors les guyanais sont bien mêlés. L’argent sale leur brûle les mains, on fait la fête avec du champagne et des filles à gogo. Du boulot ils en ont, mais il leur en faut encore plus. Ripoux et corrompus, beurk que du dégoût. Qu’ils aillent en tôle, eux au moins on connaît leur visage. Je comprend qu’ils cachaient leur visage avec une cagoule, ahou, ahou!!! Que justice se fasse.
« reconnait qu’il a fini par céder »
Mouhouhaha! C’est Guyane comique ou quoi ?
Le pauvre petit choupi a été forcé de faire du trafic pendant qu’on y est ?
Puisqu’il ne savait pas quoi faire, il y avait son boulot de chargé à la jeunesse par exemple.
Et pas pour l’entrainer dans le trafic de drogue, merci m