Emmuré social
L’inactivité plombe l’ambiance dans les cellules et couloirs de la prison de Rémire-Montjoly. « Aigris », en « souffrance », les détenus comptent les secondes faute d’occupation. Cette situation entraînerait une « montée en puissance » des tensions. Dans le quartier des mineurs, des alternatives sont proposées. Les conditions de vie au centre pénitentiaire de Rémire-Montjoly sont loin d’être roses. « Il y a beaucoup de souffrance » nous explique Michaël Konati, adjointe au chef de détention à la prison de Rémire-Montjoly. La surpopulation carcérale (274 hommes pour 188 places pour les hommes en longues peines et 267 pour 246 au centre de détention. 49 femmes en…
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