Au regard du risque de délit de non assistance à personne en danger voire de mise en danger de la vie d’autrui découlant du véto Mancini et interrogé sur ce point, Gérald Egmann ne se souvenait début 2012 que « d’une plainte à la gendarmerie de  Saint-Laurent pour une plaie au  bras non soignée sur un site clandestin ».  Quelques années plus tôt, un article rédigé pour le site RFI. fr (1), révélait que dans la période de Noël 2005, un Brésilien était tombé malade sur un site illégal de l’ouest et que, faute de soins, il était décédé d’une septicémie. C’est ce que m’avait raconté, à l’époque des faits, un autre médecin de l’hôpital. En janvier…