Depuis que le préfet de Guyane a interdit au Samu de se poser sur les sites aurifères clandestins…
« En Guyane, jamais une intervention médicale héliportée n’a été refusée sous prétexte de la clandestinité du bénéficiaire ! » Voilà une assertion prêtée à la direction de l’hôpital de Cayenne par le quotidien France-Guyane, le 4 décembre dernier (1) qui a eu le don de nous rendre perplexes, tant elle semblait ambiguë et pas tout à fait conforme à la réalité de ces 14 dernières années. Au contraire, depuis fin 2003, dans les faits, la «clandestinité» est un frein effectif à une intervention du Samu de l’hôpital sur les sites aurifères : pour le moins, à une intervention sanitaire rapide voire parfois digne…
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