De Bagdad à la maison d’arrêt de Châlons-en- Champagne après des vacances en avion en mars 2023 en Guyane… en dépit d’un mandat d’arrêt
Dans ses réquisitions, Caroline Tharot pour le parquet général note que « son bulletin n°1 mentionne « vol en réunion et tentative » qui ont valu à monsieur Coulanges 6 mois d’emprisonnement (avec sursis) par le tribunal pour enfants. La prison d’entrée, ce n’est pas courant ». « Il y a une espèce de nonchalance, c’est presque normal d’aller braquer son voisin ou autre » poursuit-elle « Il y a eu 4 ITTT de un jour ou 2 jours pour les enfants, pour la mère 5 jours d’ITT. Elle a dit que lorsqu’elle a été braquée, elle a eu peur de mourir avec…
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2 commentaires
Merci pour la qualité de votre article. On y trouve tous les éléments qui ont pour conséquence l’insécurité qui règne en Guyane. Les quartiers « chauds » où la police ne se rend pas, parce que eux-même ont peur ( et on peut pas leur en vouloir), l’engorgement des greffes des tribunaux incapables de délivrer les documents appropriés, l’incurie des services de Police ou de la Paf qui laissent entrer et sortir un gars condamné. Et ma question est « Que va-t-on faire de lui ? » Nous savons tous que la prison au mieux ne rend pas meilleur, au pire enfonce encore plus le malfaiteur dans son état, et peut-être y apprend-il d’autres combines pour être plus « performant » à sa sortie. J’ai bien mon idée mais probablement je me ferais lyncher. En Guyane, nous avons une forêt d’où l’on ne peut s’échapper ou très difficilement. Construisons un Centre d’Intégration Civique en pleine forêt profonde, où les délinquants vont être formés à une autre vie que celle des ghettos qu’ils ont connus. Fréquenter la nature, la forêt, connaitre les espèces animales et végétales, travailler, apprendre, se détendre, faire de la musique, danser (ce centre pourrait même être mixte…ben oui, pourquoi pas, car on peut même y enseigner le respect homme-femme) et encadrés par des éducateurs, des professeurs, des animateurs. Pas besoin de barbelés ni de miradors, la forêt le fait naturellement. Pas besoin de murs en béton, mais des carbets que eux-même vont construire et à la sortie, une fois leur « peine » purgée, ils ont un métier tout trouvé « guide en forêt équatoriale ». Et je prétends que ca coûterait moins cher, un tel centre, qu’une prison. et les détenus les plus anciens sur le site, pourraient encadrer les nouveaux et leur apprendre ce que eux ont déjà appris. Alors utopique ? Je ne crois pas. Ça pourrait être LA Solution. Mais j’entends déjà les récriminations et les « c’est tout à fait impossible ; on ne va quand même pas leur « payer » des vacances en forêt « . et leur payer un séjour en prison, c’est mieux. A suivre. Francis Tritsch
Oui c’est une bonne idée, cela existe, mais des centres de petite dimension, le centre de Cacao pour les mineurs (mais 10 au maximum je crois), un centre vers Régina qui essaye de sauver les gens tombés dans la drogue etc