Covid-19 : deux décès en deux jours au centre hospitalier de Saint-Laurent dont une femme de 51 ans, une autre femme, âgée de 43 ans, perd la vie à l’hôpital de Cayenne
Le nombre de décès Covid en Guyane officiellement reconnus par les autorités sanitaires s’élève désormais à 48. Deux des trois derniers décès Covid sont ceux de personnes plutôt jeunes : une femme de 51 ans à l’hôpital de Saint-Laurent du Maroni, une dame de 43 ans à l’hôpital de Cayenne, selon l’ARS. Une femme de 51 ans atteinte par le Covid-19 et hospitalisée à Saint-Laurent du Maroni est décédée à l’hôpital de la ville lundi, nous a indiqué ce mercredi l’ARS qui ne précise cependant pas les services hospitaliers où ont eu lieu les derniers décès. Toujours au CHOG (centre…
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7 commentaires
Tiens donc… On nous aurait menti ? Tout va bien ? https://www.liberation.fr/france/2020/08/06/bons-baisers-de-guyane-avec-un-masque_1796125
A chacun son tour pour découvrir la réalité commune à tous les domaines.
Seul hic est sa reddition devant la dictature de la forme et de sa propagande, certainement due à sa jeunesse.
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S1473-3099%2803%2900806-5
puis foutez-nous la paix avec des « l’hydroxychloroquine sans aucune preuve de son efficacité dans le Covid »
Raf doit faire infuser la camomille…
Je n’ai plus rien à vous dire car ca ne sert rien et d’ici peut mon abonnement se terminera.
C’est dommage, mais pour moi sitôt qu’un sujet touche l’action des services publique vous perdez en objectivité, à croire que c’est personnel. Ça devient ch…. à la longue !
N’oubliez pas qu’il y a des gens qui s’investissent dans leur travail et vous leur causez du tort.
Vais finir ma,camomille en vous souhaitant une bonne soirée.
Nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes Raf, vous n’admettez pas la contradiction, pas plus la vérité qui vous dérange. Vous calculez mal. Vous ne répondez pas sur les faits. L’humour vous est inaccessible. C’est assez révélateur… Quant au « tort » vous confortez encore une fois cette maxime : chacun est pour la liberté de la presse, sauf quand il est concerné. En 1929 dans la préface d’un ouvrage dénonçant le colonialisme, Albert Londres, attaqué notamment par les autorités coloniales écrivait déjà : « je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie».
Bravo pour la qualité et la précision des articles.
L’ARS donne le bâton pour se faire battre en ne répondant pas aux questions qu’on lui pose.
Que vois-je ? Objectivité et action des services publique(s) dans la même phrase…!
Chiche.