Une situation explosive
Depuis plusieurs années, une entreprise tente d’alerter la municipalité de Kourou sur la nécessité de remettre en état la piste qu’elle emprunte. Les demandes restent lettres mortes. Une situation gênante pour l’entreprise qui transporte des produits explosifs. C’est par une piste située sur la commune de Kourou que l’on accède sur le site d’une entreprise d’explosifs. Le nom de l’entreprise et la localisation resteront imprécises, à la demande du directeur résidant en Martinique qui « ne souhaite pas attirer l’attention » sur la singularité des produits transportés et entreposés là, au motif que l’ « on aimerait pas avoir de problèmes…
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Je comprends rien au discours du directeur de cabinet de Kourou…
Réponse à la rédaction à propos de l’article sur la route d’accès à Guyanexplo à Kourou..
En premier lieu evitez au moins la confusion dans vos transcriptions, car lorsque je dis que des voiries « RURALES « ont vocation à être communales’ et que vous écrivez « des voiries COMMUNALES ont vocation à être communales » on n’est pas dans la même compréhension des choses. Sauf si votre ,objectif, au lieu de faire un article structuré est de démontrer que vos interloculteurs sont des demeurés; vous même qui confondez les mots donc, qui vous contentez d’ignorez les concepts d’aide régulière et multiforme apportée par la ville de Kourou aux acteurs économiques, ou qui au lieu de reprendre votre téléphone comme tous vos confrères pour des précisions utiles, caractérisez avec quand même une pointe d’ aggressivité (je vous cite ainsi: « discourt le Directeur de Cabinet sur un ton patriotique »). Cela veut-il seulement dire quelque chose?
Sur le fond effectivement il relève de l’intérêt général de rendre publics certains chemins d’accès, comme ici. Les conditions de telles rétrocessions doivent bien entendu être négociées avec le véritable propriétaire afin d’envisager par exemple avant acceptation, certaines remises à niveau indispensables.
J’ai invité d’ailleurs l’auteur de l’article à venir sur le terrain afin que de manière comparative je lui montre des exemples de réhabilitation de voiries n’appartenant pas à la commune aussi bien en site urbain que rural, parce que dans l’attente d’éventuelles rétrocessions, l’intérêt social ou général le justifie..
Pour le cas de Guyanexplo, la propriété communale s’arrête grosso-modo à la moitié du chemin, et c’est effectivement la partie la plus dégradée en raison d’une circulation plus dense et de l’activité des gros porteurs tracteurs et camions, autour de la scierie. L’entreprise pour sa part nivelle régulièrement sa zone d’activité et la responsabilité de la commune étant ENGAGEE là où elle est propriétaire , ne peut que veiller à compléter les travaux pour une accessibilité correcte de la piste.
Pour conclure, j’espère que le lecteur n’ayant rien compris à la transcription de Guyaweb( moi non plus car si un lapsus éventuel n’est pas grave en soi, j’ai été stupéfait tout de même par le ton employé) trouvera des réponses dans ma propre intervention
Bernard Quémon
mille excuses ne suis pas de la génération numérique et « a gg ressif est une faute de doigt »sur le clavier
B Quémon