La traçabilité de l’or illégal de Guyane possible avant « l’affinage industriel »
Le WWF réagit à l’interview de Marian Eabrasu, professeur associé en responsabilité sociale des entreprises l’école de commerce de Troyes sur Guyaweb (le 11/04/16). L’entretien s’interrogeait sur la capacité du projet TAO, du WWF, de caractérisation de l’or brut, (Guyaweb du 26/02/16) à être un outil coercitif efficace à l’encontre de l’orpaillage illégal, comme l’avancent le WWF Guyane et des parlementaires français. « La traçabilité de l’or, comme un moyen de lutte contre le blanchiment de l’or, demeure une piste sérieuse dans le contexte guyanais. Cependant, nous sommes persuadés qu’aucun moyen isolé ne parviendra à réduire significativement l’emprise de l’orpaillage…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
3 commentaires
à l’attention du WWF : comment distinguer au sein d’une mine alluvionnaire légale ?
– l’or de l’exploitation alluvionnaire légale de repassage, intégrant du mercure
– l’or des exploitations alluvionnaires illégales d’à coté, intégrant du mercure et ayant globalement la même signature géochimique…
Si on veut parler de tracabilité, faisons la avec le matériel. c’est a dire que chaque utilisateur sache et dise ou se trouve son materiel et le faire revenir à ses frais lorsque que dernier est devenu inoperant
c’est bien tout cela mais le plus important c’est une VRAIE volonté d’arrêter les trafics d’or non-déclarés. Pour rappel, les opérateurs miniers légaux trichent tout autant en SOUS-déclarant leur production.