Plurilinguisme et apprentissages
« Dans le cerveau, ce n’est pas parce qu’on retire une langue qu’une autre va prendre plus de place ». C’est parce que les familles qu’il côtoie vivent douloureusement le plurilinguisme que le service d’éducation spécialisée de l’apadag (association des parents et amis des déficients auditifs de Guyane) organisait le 18 novembre à Saint-Laurent et le 20 à Cayenne, deux journées consacrées au plurilinguisme et aux troubles des apprentissages. L’apadag accueille vingt enfants qui rencontrent des difficultés dans les apprentissages, dans l’acquisition et le développement du langage. « Il y a plein de familles qui nous demandent si elles doivent arrêter leur langue…
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1 commentaires
Encore et toujours la faute des méchants profs.
Le jour où plus personne ne voudra faire ce métier (parce que c’en est un), il ne faudra pas vous étonner…