L’installation du chik ne pourra être évitée, mais peut-être minimisée
Selon Christian Meurin, directeur de l’Agence régionale de santé (ARS), la lutte contre le chikungunya (chik) est devenue « la priorité en matière de santé publique » en Guyane ( Guyaweb du 25/01). Au moins quatre cas de contamination par le virus chez des personnes revenues en Guyane après un séjour aux « Antilles » ont été confirmés à ce jour. En Martinique et en Guadeloupe, le nombre d’individus piqués a désormais « dépassé les 1500 ». Jean-Philippe Champenois est entomologiste, il répond à nos questions au sujet d’une probable épidémie de chik attendue dans le département. Le directeur de l’ARS a appelé…
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1 commentaires
Il est effarant de constater le fatalisme avec lequel l’agence de santé nous annonce une future épidémie. Dans la mesure ou c’est l’homme qui contamine le
moustique, ne peut on pas arrêter aux frontières les sujets à risques, c’est à dire
qui proviennent de régions infestées, ou alors effectuer des tests dès leur arrivée
en Guyane, a partir de là, si il est contaminé, le mettre en quarantaine, durant
son traitement et jusqu’à ce qu’il ne soit pas contaminant pour les moustiques locaux. Lorsqu’un cosmonaute revient sur terre, c’est la procédure.
sas et période de décontamination.
A moins que les épidémies enrichissent certains, qui se frottent déjà les mains,
en voyant arriver ce type de menaces sur nos populations