Les savanes, nouvel espace de concertation
Elles représentent moins de 2% du territoire guyanais, mais revêtent des fonctions identitaire et environnementale fortes. Synonymes de liberté et « d’une forme de résistance » chez les anciens, souvent malmenées par les pressions agricole et foncière, les savanes de l’Ouest font l’objet d’attentions nouvelles, sous l’impulsion du Gepog. « On nous disait tout le temps que dans les savanes qu’il y a des roches, des roches morts, des roches qui craquent ». Ce témoignage d’une personne âgée de Sinnamary recueilli par l’anthropologue Marianne Palisse en 2012 résume assez bien la mauvaise réputation prêtée en général aux savanes guyanaises. Face à la luxuriance…
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