Alors que le Sénat vient tout juste de reconnaitre l’abeille comme un bio-indicateur dans le cadre de la surveillance des produits phytopharmaceutiques, le premier groupe français de biosurveillance par l’abeille vient de fleurir. Il fusionne cinq structures : un bureau d’études environnemental cayennais, une société toulousaine, une société du Nord-Pas-de-Calais « spécialisé[e] dans l’installation de ruches pour entreprises et collectivités », une association lyonnaise d’éducation à l’environnement et un bureau d’études de la Rochelle « expert du diagnostic et de la biosurveillance de l’environnement grâce à l’indicateur abeille ». Le groupement rassemble « plus de 1000 ruches et compte plus de 50 références publiques et privées…