L’épidémie de chik se renforce dans l’Ouest
Les foyers épidémiques se multiplient à Saint-Laurent et Apatou alors que Rémire-Montjoly et Cayenne sont un peu moins concernés par la circulation du chikungunya. Globalement, « en novembre, l’estimation du nombre de cas cliniquement évocateurs vus en médecine de ville ou en [centre de santé] est globalement en diminution ». Il y a un mois et demi, les autorités recensaient environ 10 cas pour 1000 saint-laurentais, les chiffres sont aujourd’hui passés à 15 pour 1000. A Apatou, le virus – transmis le jour par le moustique Aedes – s’emballe. Une moyenne de 20 cas pour 1000 habitants fut enregistrée sur…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
1 commentaires
Une note venant tout droit de l’ARS sur l’utilisation des piscines après le passage du malathion est pour le peu dangereuse. En effet, s’il est précisé qu’il ne faut pas se baigner dans les piscines traitées au chlore pendant 48h et diminuer l’acidité de l’eau en relevant le pH, l’ARS stipule qu’il n’y a aucun risque pour les piscines au sel. Bien belle et énorme erreur ! Le principe de l’électrolyse d’une piscine a l’eau salée est de fabriquer du chlore.
Rassurez vous, l’ARS vieille à notre bonne santé ! Si pour leurs autres affirmations, le malathion est sans danger, fuyez chers citoyens. Et cette connerie ne représente que la partie visible de l’iceberg.