Le aï, paresseux sauf pour …
Les mangeurs de viande en sont convaincus, mâcher trois feuilles de salade ne nourrit pas ! Le mouton paresseux est en un exemple flagrant. Habitué à rester juché dans les bois canon ou d’autres niches forestières ; descendre sur le sol ferme, même à une allure poussive, lui coûte « environ 8% de l’énergie qu’il ingurgite en une journée ». Une étude publiée la semaine dernière dans la revue nord-américaine Proceedings of the Royal Society B, s’est intéressée au cas du aï, qui « ne descend qu’une fois par semaine de son arbre », afin de faire ses besoins. L’interrogation des scientifiques était…
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2 commentaires
Un peu court ! Comment les papillons apporteraient-ils de l’azote ds les poils de l’aï ? En mourant, en déféquant ? De quoi se nourrissent-ils ? Se contentent-ils de s’y reproduire ? Les aï mangent donc les algues de leur fourrure ?
Selon l’enquête : « Les lépidoptères seraient capables d’accroitre les concentrations de l’élément chimique, lui permettant d’être colonisé par davantage d’algues ». Le condensé de l’enquête accessible par internet ne dit pas en revanche par quel mécanisme les papillons font croître la production d’azote.