« L’affaire couachi » : symptomatique d’affrontements politiques, économiques et culturels depuis 300 ans
Dans un monde en mouvement, peut-on s’attribuer la paternité des usages et connaissances des plantes médicinales ? C’est à cette question que répondent indirectement trois ethnobotanistes en documentant le parcours depuis trois siècles du couachi, plante d’Amérique inscrite à la pharmacopée française qui fit l’objet d’un recours devant l’Office européen des brevets pour « biopiraterie ». En 2016 et 2018, la Fondation France Libertés et le collectif guyanais « Couachi » avaient réclamé la révocation du brevet déposé en 2009 et accordé définitivement en 2018 par l’Office européen des brevets à l’IRD (Institut pour la recherche et le développement) en copropriété avec l’Université Paul…
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5 commentaires
La lecture est trop compliquée j’abandonne. De grâce retournez à l’école élémentaire, mais arrêtez de nous imposer votre écriture inclusive!!!
Je rejoins Elisa sur son commentaire sur l’écriture inclusive !
Pourquoi ne jamais intervenir pour a minima nous expliquer son intérêt ?
Joyeux Noël quand même
Encore plus indigeste que le foie gras!!!
De l’écriture inclusive ? Où ça ? De quoi parlez-vous ? Il n’est question nulle part de neutraliser la binarité de genre par un point médian ou autre.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Langage_%C3%A9pic%C3%A8ne
Ce qui vous déplait, crois-je deviner, ce sont les abréviations du jargon scientifique. C’est en effet critiquable, mais ça n’a rien à voir (ex : Q amara, SkE).
Il est déconseillé de singer Blanquer et autres en manipulant ces nouvelles expressions réactionnaires à la mode (woke, populisme, islamo-gauchiste, théorie du genre, etc.). Souvent dépourvues de sens, leur emploi bancal révèle un certain attachement pour les apparence au détriment du fond (on a l’impression de briller en société, mais en fait, on passe pour un·e con·ne).
Critiquez comme vous voulez mais employez les bons mots. Comme disait l’autre, « Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde. »
@Remi973
En cherchant, il y a effectivement une occurence coupable, dans la phrase: « …recueillis de manière malhonnête par les chercheur.ses de l’IRD… ». Ce qui rendrait apparement l’article incompréhensible. Un point median…Trois cerveaux à terre d’un seul coup. Dans certains millieux scientifiques on appelle cela une « materrazi ».