Épidémie de dengue : comment les autorités veillent au grain
Débutée mi-2023, l’épidémie de dengue qui sévit en Guyane s’est accélérée depuis le début de l’année 2024 avec 800 nouveaux cas déclarés en moyenne par semaine, poussant les autorités à renforcer les mesures prophylactiques contre ce virus transmis par certains moustiques et dangereux dans ses formes graves. L’épidémie serait la plus importante depuis vingt ans et met au défi des autorités sanitaires rompues à l’exercice, la dengue étant endémique sur le territoire. Une fièvre brutale, associée à des courbatures et dans certains cas une éruption cutanée pendant une semaine, voilà à quoi ressemblent les symptômes de la dengue. Depuis le début…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
3 commentaires
Un dossier pour trop violans! On laisse mourrir les Guyanais ! l’état bloque la validation d’un vaccin contre la dengue, pourtant largement utilisé au Brésil et qui marche ! Idem pour le palu, le Cameroun vaccine ! C’est un genocide !
C’est clair…par contre, vite professeur Raoult ! A l’aide !
On ne comprend plus rien à tes analyses complotistes Frog…
Trop Violans, ce ne sont pas plutôt des antivax invétérés? Les deux leaders de l’association sont pourtant inquiétés par la justice, pour avoir perturbé les campagnes de vaccination de la croix rouge dans les quartiers populaires, durant la période Covid. Et toi, tu les imagines vraiment en train de dénoncer le blocage de la validation d’un nouveau vaccin?
Pas très crédible ton commentaire.