Destruction d’espèce protégée au Centre spatial guyanais : la convention amiable rejetée par la justice
Pour avoir mené sans autorisation, en 2022, des travaux de réhabilitation d’un site de lancement ayant entraîné la destruction d’une espèce d’amphibien protégée, le Centre national d’études spatiales (Cnes), gestionnaire de la base de Kourou, s’est retrouvé au cœur d’une enquête du parquet de Cayenne pour atteinte environnementale. Mais le Cnes, qui encourait trois ans d’emprisonnement et 750 000 euros d’amende, s’est vu proposer une alternative aux poursuites comprenant 10 000 euros d’amende et des mesures compensatoires permettant d’éviter un procès et une condamnation. Une somme dérisoire au vu d’une expertise indépendante qui a chiffré le préjudice écologique « grave » à…
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2 commentaires
Je retiendrais que si le CNES avait fait la demande de dérogation espèces protégées et avait eu l’autorisation de travaux, ils auraient pu détruire une espèce protégée, mais légalement…
De l’art du foutage de gueule, soit on protège un espèce et donc pas de dérogation autorisant à détruire, soit, et c’est visiblement le cas, on peut détruire des espèces protégées sur simple demande à la DGTM…
L’espèce étant le singe ahou, le paresseux ZzzZzz ou l’iguane pa kontent ?
Dites-nous tout Maître pipi….