Chik, entre recul et hausse
On ne peut pas dire que la vitesse de transmission du chikungunya en Guyane est des plus flagrantes. Comme des battements d’ailes, le phénomène s’agite parfois vivement tout en observant des phases stationnaires. Néanmoins si le tassement se confirme sur le Centre littoral, le virus entre dans une phase vorace à Mana et Saint-Laurent. Le dernier bulletin épidémiologique de la Cellule interrégionale d’Epidémiologie Antilles-Guyane (CIRE) établi sur la période du 22 septembre au 5 octobre vient de paraître. Il rapporte une augmentation contenue – voire une stabilisation – du chikungunya sur le Centre littoral et « un début d’épidémie dans l’Ouest…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
1 commentaires
Bonjour
Je vous ferai bien remarquer , si vous ne vous en êtes pas rendu compte , que nous sommes à la saison sèche …… Donc peu de gites pour les larves de moustiques tigre .
Attendez donc le début de la saison des pluies pour en reparler .
Salutations