François Hollande le 16 janvier, Nicolas Sarkozy le 21 et le 22 janvier. L’un ira aux Antilles, l’autre pas. Derrière les décisions prises depuis Paris par les candidats aux présidentielles, en Guyane, les sections locales tentent de suivre la cadence, une cadence au pas de charge. Du côté du président de la République, « ça y est, c’est officiel, il vient le 21-22 [janvier] » probablement vingt-quatre heures maximum, nous a répondu Fabien Covis président du comité départemental de l’UMP. Le chef de l’Etat « ne passera pas par les Antilles », comme cela avait été envisagé. Il nous a été difficile d’obtenir…