Inauguration de l'aéroport, celle du pont à l'eau
L’inauguration binationale du pont sur l’Oyapock n’aura pas lieu ce week-end, n’en déplaise au chef de l’Etat. Nicolas Sarkozy aura cependant le droit à une autre inauguration … celle du changement de nom de l’aéroport de Matoury. Le président de la République arrivera ce samedi matin et entamera sa visite en Guyane par un protocole hautement symbolique, une inauguration à 8 heures. Celle du nouveau nom de l’aéroport de Matoury, feu le Rochambeau rebaptisé Cayenne-Félix Eboué. Il est néanmoins sans conteste un contretemps qui chagrine la présidence, un contretemps nommé Brésil. Décidé sous Jacques Chirac en 1997, le pont sur…
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Sur un pont, on circule dans les deux sens. Sur un pont transfrontalier, on pratique des procédures dans les deux sens. Il vous faut des documents de toutes couleurs. En Europe, vous disposez habituellement de la carte verte remise par votre assureur mais gérée par le Conseil des Bureaux. L’Association internationale des Bureaux nationaux d’assurance automobile est l’organistation chargée du « système de la Carte verte ». Il prend d’emblée en charge votre couverture dans tous les états membres essentiellement européens. L’ultra-périphérie géographique nous exclut-elle de l’Europe alors que les aspects de droit sont régulièrement rappelés? La France est membre depuis 1949, le Brésil et le Suriname ne le sont pas; néanmoins le Portugal et The Netherlands le sont. Les aspects linguistiques sont donc déjà appréhendés et adaptables aux droits respectifs. L’Iran et la Tunisie sont englobés, nous ne croyons pas que nos pays limitrophes soient plus dangereux. Nous demandons, en vue de l’extension des trajets praticables depuis la Guyane, que soit établies les conventions nécessaires à nous procurer les mêmes degrés de liberté que la grande masse des assurés. Nous voulons que cesse le racket pratiqué par les assureurs voisins pour des couvertures insignifiantes qui grèvent nos budgets et notre tranquilité contrairement au statut européen qui l’inclut d’office. On nous inflige des coûts supplémentaires en sus de ceux des visas pour des infrastructures massacrantes depuis 22 ans côté Suriname alors que la France et l’Europe injectent de la finance pour contribuer à une remise en état depuis longtemps. En 2 ans une moitié a été rénovée et l’autre a été détruite par les engins de chantiers eux-mêmes.